Il y a 3 ans, 18 Juin 2018, est née la plateforme éducative Samabac.
Sama Bac est une plateforme éducative spécialisée dans l’information en milieu scolaire et universitaire, les préparation aux examens et concours, la formation, les études et les métiers à destination du Public (Elèves, étudiants, parents, enseignants, jeunes diplômés, chercheurs d’emplois, etc). Edité par l’agence Sunu Code, Samabac s’adresse également aux professionnels de l’enseignement supérieur et de la formation professionnelle.
Aujourd’hui, #Samabac diffuse plus de 6000 articles dans les catégories suivantes : Examens, bourses, concours, Anciennes épreuves d’examen et de concours, Communiqués, Actualités, Métiers, Formations, Filières, Cours et exercices, programmes scolaires, Etudes à l’étranger, Parcours, Portraits et oeuvres, Orientations, Démarches, Emplois et Stages, etc.
En 2021, #Samabac se diversifie en lançant sa première application « iemplois » destinée exclusivement au offres d’emplois et de stage au Sénégal. L’application Samabac, quant à elle, sera disponible en Fin Juillet.
Partenaire des Grandes Ecoles de Formation, Samabac s’active aussi dans l’orientation et le placement d’étudiants au Sénégal et au Maroc, depuis Mai 2021.
Selon Bara Diaw, fondateur et par ailleurs manager général, l’objectif est de permettre à chaque acteur du système d’avoir accès à toutes les infos pouvant lui être utiles et de pouvoir en tirer profit. « Nous faisons aujourd’hui un travail que devrait faire l’Etat. C’est peut-être pour cela que certains nous prennent souvent comme un service du gouvernement. Pourtant, Samabac ne reçoit aucun centime du Gouvernement », a-t-il laisser entendre.
Derrière ces nombreuses publications et assistances, se trouve une équipe dynamique prête à servir. Ainsi avec plus de 380 000 abonnés sur Facebook et 25 000 visiteurs par jour, Samabac est devenu une communauté suivie un peu partout dans le Monde.
Notes de la Rédaction :
Nous déplorons le fait que l’Etat n’appuie jamais ces genres d’initiatives citoyennes. Aujourd’hui, il y a plusieurs plateformes qui font un travail impeccable qui dépassent largement ce que font tous ces ministères et directions payés avec les deniers publics. Les pages et sites web des ministères sont trop pauvres en informations.
