Dictée suivi de question corrigée (Sport et nation)-CFEE 1992

Titre : Sport et nation
Sport et nation sont liés. L’un comme l’autre peuvent se satisfaire de victoires momentanées, Ni l’un, ni l’autre, ne peuvent compter sur la chance ou sur le hasard, pour être victorieux. C’est l’effort persévérant qui conditionne la victoire finale. Rien n’est jamais acquis. Le record du saut en hauteur, comme l’indépendance d’une nation, tout doit être mérité ; tout doit être conquis et reconquis. Chaque geste de l’athlète comme celui du citoyen doit être la préparation de l’idéal auquel il aspire. Et la victoire qui lui échappe aujourd’hui est à jamais perdue,
Abdoulaye FOFANA (parole à la jeunesse)
QUESTIONS
I./ a) Un sportif doit-il compter uniquement sur la chance ou sur le hasard pour gagner ? Justifiez votre réponse. . b) Expliquer les mots soulignés : effort persévérant – victoires momentanées conditionne la victoire.
II./ a) Nature et fonction des mots suivants : liés (sport et nation ) ; idéal (préparation de l’idéal)
b) Analyse logique de la phrase : « c’est l’effort persévérant qui conditionne la victoire » « Rien n’est jamais acquis ». Mettre cette phrase au passé simple, au futur simple, à l’imparfait et au passé composé de l’Indicatif.
CORRIGEE
1°)
a) – Non, un sportif ne doit pas compter uniquement sur la chance ou sur le hasard pour gagner. Il doit toujours s’entraîner, se surpasser, faire plus… ( Accepter toute réponse équivalente.)
b) – Effort persévérant : effort permanent, continu… (Accepter toute idée allant dans le sens d’améliorer la performance).

  • Victoires momentanées : éphémères, non constantes, fugaces… (Accepter toute idée similaire’). 2°)
  • a) Nature et fonction des mots suivants
  • Liés : participe passé employé comme adjectif qualificatif, attribut de sport et nation.
  • Idéal : nom commun complément du nom préparation.
  • b) Analyse logique de la phrase 
  • « C’est l’effort persévérant » : Proposition principale
  • « Qui conditionne la victoire » : Proposition subordonnée relative, introduite par le pronom relatif qui, complément de l’antécédent effort.
  • 3°) Conjugaison
  • Passé simple : Rien ne fut jamais acquis
  • Futur simple : Rien ne sera jamais acquis
  • Imparfait : Rien n’était jamais acquis.
  • Passé composé : Rien n’a jamais été acquis
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