La publication de « Mein Kampf » peut heurter la sensibilité de ceux qui, directement ou à travers leurs proches, ont souffert des persécutions et des crimes commis, à une époque encore récente, au nom de la doctrine hitlérienne. Pourtant les victimes du plus atroce crime contre l’humanité ne peuvent être vouées à l’oubli. Il importe que les hommes se souviennent du crime et s’en détournent avec horreur dans les temps à venir.
Il est donc nécessaire de rappeler ici au lecteur ce à quoi l’ouvrage qu’il a entre les mains, a conduit. Hitler ne révélait dans son ouvrage écrit en 1924, qu’une partie de ses desseins en vue de l’établissement d’un « État racial », assurant la prépondérance des Allemands censés appartenir à la race supérieure des « Aryens », sur les autres populations européennes. Ces desseins ont abouti en 1939 au déchaînement de la 2e Guerre mondiale, au cours de laquelle d’innombrables crimes furent perpétrés, au nom de la doctrine raciale, contre les populations civiles désarmées, contre des femmes et des enfants.
Le livre Mein Kampf; (Mon combat) d’Adolphe Hitler

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