LA BANQUE MONDIALE ANNONCE PRÈS DE 280 MILLIARDS F CFA POUR L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR EN AFRIQUE
« Le renforcement de l’enseignement supérieur et le développement des compétences sont parmi les clés pour accroître le capital humain d’un pays ». C’est la position adoptée par la Banque mondiale pour accompagner les pays africains à booster leur enseignement supérieur. Pour sa matérialisation, l’institution financière a mis l’accent sur les projets des Centres d’Excellence Africains (CEA) pour répondre aux demandes du marché. Ainsi, pour la 2ème phase du financement de ces CEA, la BM a mis sur la table 456 millions de dollars US (environ 278 milliards F CFA). Cette enveloppe concerne les pays tels que le Nigéria, le Ghana, le Burkina Faso, le Bénin, le Togo, le Cameroun, le Sénégal ou encore la Gambie.
« Depuis son lancement, ce projet a contribué à la promotion de l’enseignement des études supérieures, appuyant plus de 2 000 doctorants et 9 000 étudiants en Master. Il a permis d’atteindre des standards de qualité internationales, conduisant à l’obtention d’accréditations internationales dans plus de 57 programmes, près de 8 000 étudiants ont directement bénéficié de ce projet et ont pu faire des stages dans des secteurs et organisations clés de leurs pays et de la région », a déclaré, ce mardi en marge de l’atelier sur les projets des CEA qui se tient à Dakar, la Responsable des programmes développement humain de la Banque mondiale au Sénégal, Mme Sophie Naudeau.
Lors de la première phase du projet, la Banque mondial avait financé le Sénégal à hauteur 16 millions de dollars US (environ 9 milliards F CFA). Cette somme avait permis de financer le CEA-MITIC, logé à l’UFR de Sciences Appliquées et de Technologie (UFR SAT) de l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis et le Centre d’Excellence Africain en Santé de la Mère et de l’Enfant abrité par la Faculté de Médecine de l’université Cheikh Anta Diop (UCAD) du Sénégal.
Selon le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Cheikh Oumar Anne, le Sénégal attend un autre financement pour ériger quatre centres, dans le cadre de la 2ème phase. « La nouvelle politique de l’Enseignement supérieur au Sénégal est en phase avec les orientations de la Banque mondiale et les nouvelles exigences de l’économie mondiale. Depuis 2013, l’Etat du Sénégal s’est inscrit dans une dynamique de réforme du Système d’enseignement supérieur et de recherche », a-t-il rappelé.
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« Le renforcement de l’enseignement supérieur et le développement des compétences sont parmi les clés pour accroître le capital humain d’un pays ». C’est la position adoptée par la Banque mondiale pour accompagner les pays africains à booster leur enseignement supérieur. Pour sa matérialisation, l’institution financière a mis l’accent sur les projets des Centres d’Excellence Africains (CEA) pour répondre aux demandes du marché. Ainsi, pour la 2ème phase du financement de ces CEA, la BM a mis sur la table 456 millions de dollars US (environ 278 milliards F CFA). Cette enveloppe concerne les pays tels que le Nigéria, le Ghana, le Burkina Faso, le Bénin, le Togo, le Cameroun, le Sénégal ou encore la Gambie.
« Depuis son lancement, ce projet a contribué à la promotion de l’enseignement des études supérieures, appuyant plus de 2 000 doctorants et 9 000 étudiants en Master. Il a permis d’atteindre des standards de qualité internationales, conduisant à l’obtention d’accréditations internationales dans plus de 57 programmes, près de 8 000 étudiants ont directement bénéficié de ce projet et ont pu faire des stages dans des secteurs et organisations clés de leurs pays et de la région », a déclaré, ce mardi en marge de l’atelier sur les projets des CEA qui se tient à Dakar, la Responsable des programmes développement humain de la Banque mondiale au Sénégal, Mme Sophie Naudeau.
Lors de la première phase du projet, la Banque mondial avait financé le Sénégal à hauteur 16 millions de dollars US (environ 9 milliards F CFA). Cette somme avait permis de financer le CEA-MITIC, logé à l’UFR de Sciences Appliquées et de Technologie (UFR SAT) de l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis et le Centre d’Excellence Africain en Santé de la Mère et de l’Enfant abrité par la Faculté de Médecine de l’université Cheikh Anta Diop (UCAD) du Sénégal.
Selon le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Cheikh Oumar Anne, le Sénégal attend un autre financement pour ériger quatre centres, dans le cadre de la 2ème phase. « La nouvelle politique de l’Enseignement supérieur au Sénégal est en phase avec les orientations de la Banque mondiale et les nouvelles exigences de l’économie mondiale. Depuis 2013, l’Etat du Sénégal s’est inscrit dans une dynamique de réforme du Système d’enseignement supérieur et de recherche », a-t-il rappelé.
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Enseignement supérieur en Afrique :La banque mondiale annonce près de 280 milliards FCFA
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