Philosophie : Art et Esthétique

ART ET ESTHETIQUE

 

 

M. KITANE                   ART ET ESTHÉTIQUE

 

L’art est généralement défini comme une activité consciente de production du beau, mais le mot peut aussi avoir le sens de technique. Le pléonasme dans l’expression « beaux-arts » suggère déjà que l’art peut avoir une fonction autre qu’esthétique. L’esthétique comme réflexion critique, philosophique, sur l’art et le beau s’intéresse particulièrement à l’activité artistique et soulève des questions du genre : qu’est-ce que le beau ? Quelle est la différence entre le beau artistique et celui naturel ? L’art est-il création ou imitation ? Quelles sont les autres fonctions de l’art ? Etc.

I/ l’art et les arts

Artisanat et art

L’artisan et l’artiste utilisent tous deux une matière première et des outils. L’artisan produit quelque chose d’utile : il vise d’abord l’utile avant le beau. À l’inverse, l’artiste ne vise pas l’utile mais le beau.

La beauté artisanale est une décoration d’un objet utilitaire, tandis que la beauté artistique est inhérente à l’œuvre (c’est une beauté naturelle). La beauté artisanale est adhérente, elle n’est qu’un supplément. Cependant cette distinction n’est pas absolue : primitivement l’art n’était pas ce qu’il est devenu chez nous, Modernes. L’art est multifonctionnel et le processus de son « esthétisation » exclusive semble lié aux mutations socioéconomiques de l’humanité. L’art est primitivement lié à la magie : les fresques découvertes dans certaines grottes ont pour fonction de protéger contre les esprits et les bêtes fauves. Les masques africains n’ont absolument pas pour fonction première le beau : ce sont des réceptacles du divin ou des instruments efficaces pour exorciser le démon.

 Art, technique

L’art diffère de la technique sur plusieurs points : La finalité de l’art est a priori esthétique alors que celle de la technique est l’efficacité, l’utilité. L’art n’obéit pas à des règles prédéfinies et fixes alors que la technique est un ensemble de procédés mis en œuvre pour accéder à une fin. Le hasard aime l’art et l’art aime le hasard, disait Aristote pour suggérer la dose d’imprécision, d’imprévu, d’imagination dans la création artistique. Alain suggère la même idée lorsqu’il dit « le portrait nait sous le pinceau. Néanmoins la technique et l’art sont intimement et historiquement liés. L’art moderne fait recours à la technique (Cinéma) et la technique aussi fait souvent recours à la touche artistique (design). La redondance qu’il y a dans l’expression « beaux-arts » doit, à ce titre, inciter à méditer davantage le rapport entre art et technique. Mieux, l’art renferme une dimension technique indéniable : il lui arrive d’ambitionner de changer le monde. L’art engagé nous montre que l’art peut agir sur le réel : « les grands artistes ne sont pas des transcripteurs du monde, ils en sont les rivaux » a dit Malraux pour suggérer que l’art s’engage résolument à recréer ou à transformer le réel. L’art n’est donc ni pure imitation ni pure contemplation passive de la nature et du monde. Ce n’est donc pas un hasard si dans la langue grecque le mot « technê » signifie à la fois art et technique

Art et science

Ces deux domaines sont a priori opposés : l’art s’adresse avant tout à notre sensibilité, tandis que la science s’adresse à la raison. L’art vise le beau, la science la vérité qui est une qualité de la connaissance. La science repose sur des méthodes, un langage et des règles, universels alors que l’art est subjectif, ses règles sont personnelles. La science, par le biais de la connaissance, domestique la nature, alors que l’art humanise et console l’homme, il lui crée des îlots de bonheur dans un désert de malheur. Cependant l’art partage avec la science plusieurs choses : tous les deux ont pour cible la nature. Face à la nature l’artiste, comme le savant, observe, étudie minutieusement : noter que l’artiste fait de la recherche car, c’est au fur et à mesure que sa main ou son outil de travail s’active qu’il crée le beau ; ce qui suggère d’ailleurs qu’il ne le créé pas mais le découvre plutôt. La méditation scientifique n’irait jamais loin sans la fécondité de son imagination, or c’est celle-ci qui est à l’œuvre chez l’artiste aussi.

Art et philosophie

Là également le rapprochement peut être hasardeux et les tensions entre art et philosophie dans l’histoire de la pensée semblent montrer que les deux sphères n’ont rien en commun. La philo cherche à convaincre par l’argumentation conceptuelle, alors que l’art cherche avant tout à séduire, à charmer. Pourtant les deux sont subjectifs, critiques et suscitent l’esprit critique. Il faut, sous ce rapport, signaler que c’est à cause de leur esprit critique que philosophe et artiste sont souvent marginalisés ou persécutés dans la société. Tous les deux cherchent à éveiller les esprits ou à « secouer le cocotier » qu’est la curiosité humaine. L’art et la philosophie sont en dernière instance des tentatives de résoudre l’absurdité de l’existence. Schopenhauer a dit dans ce sens « ce n’est pas seulement la philosophie, ce sont encore les beaux-arts qui travaillent à résoudre le problème de l’existence ».

 II/ Art et nature : création ou imitation ?

La thèse de l’imitation

Les peintres peignent les paysages, les chanteurs et les poètes chantent la beauté de la nature et cela semble prouver que l’art imite la nature. L’approche réaliste va donner plus de crédit à la notion d’imitation parce qu’elle ambitionne de faire de l’art « un miroir » de la réalité. Les frères Goncourt ont par exemple prétendu que « les romanciers sont des raconteurs du présent ». Le naturalisme que l’on considère comme le prolongement du réalisme aussi incline à penser que l’artiste est devant la nature comme un élève devant son maître. Créer c’est toujours faire advenir ex nihilo (à partir de rien), or l’artiste ne part jamais de rien : il imite la nature et ne fait que transformer. Albrecht Dürer trouve que la nature est le maître que l’élève qui a le génie sait exploiter pour en extraire des chefs-d’œuvre : « En vérité, l’art est enfermé dans la nature celui qui peut l’en extraire, celui-là est un maître ». En philosophe également on a des thèses qui considèrent l’art comme de la simple imitation. Platon, par exemple, range l’art dans le domaine de l’imitation : l’artiste, quand il n’est pas inspiré par les muses, se fonde sur l’imagination pour créer des simulacres de beauté.  Il copie la nature qui n’est qu’apparence de la réalité intelligible : les beautés de la nature sont des images dégradées de la beauté en soi et les beautés artistiques sont des copies de copies. Chez Aristote cependant l’imitation a une valeur positive. Dans la Poétique, Aristote distingue deux types de mimèsis : la simple imitation de la nature et la stylisation de celle-ci. Aristote propose également trois façons d’imiter : comme les choses sont, comme on les dit et comme elles devraient être. Aristote pense que l’art en imitant va plus loin qu’une simple représentation, plus loin que le réel, qu’il tend en fait vers un idéal, ce qui lui permet de montrer ce que les choses devraient être. Aristophane avait déjà expliqué, avant Aristote, la dimension « stylisation », « recréation » ou « achèvement » de l’art : « Quant à ce que la nature nous refuse, l’imitation tâche d’y suppléer ». Une autre dimension de l’imitation est souvent évoquée dans l’art pour mettre en exergue le problème de l’apprentissage dans ce domaine. Un artiste ne naît pas ex nihilo, il s’exerce, et cultive son talent : dans ce processus il arrive souvent que l’artiste soit inspiré par un autre qu’il considère comme modèle. Cela pose en filigrane la question de l’authenticité en matière de création artistique : l’artiste peut-il revendiquer une authenticité absolue ? L’expérience montre que dans tous les domaines artistiques, certains artistes ont toujours eu des références, des maîtres ou modèles et d’autres ont même été des plagiaires. Au regard de toutes ces considérations, on peut dire que l’imitation est inhérente à l’activité artistique.

La thèse de la création ou de la recréation

Cependant l’art ne saurait se réduire à une simple imitation et ce propos de Baudelaire semble le confirmer : « Je trouve inutile et fastidieux de représenter ce qui est, parce que rien de ce qui est ne me satisfait. La nature est laide, et je préfère les monstres de ma fantaisie à la trivialité positive. » Baudelaire, Critique d’art. Baudelaire cite une phrase qu’un savant lui a dite un jour et qu’il applique à la création artistique. Le savant pensait que « la nature n’est qu’un dictionnaire » : en tant que dictionnaire, la nature n’est guère un roman, point un poème ; elle est tout au plus une matière première qui attend d’être travaillée pour révéler la mystérieuse beauté qu’elle renferme. L’exemple de la peinture illustre la complexité des rapports entre art et nature : la peinture consiste apparemment à peindre ce que l’on voit. Or, si l’on place deux peintres devant le même paysage, on obtiendra deux peintures différentes. En réalité, l’artiste ne peint donc pas ce qu’il voit, mais son travail est une représentation (sensibilité). L’art n’imite donc pas la nature ; si c’est le cas, il ne s’agit pas d’une œuvre d’art. L’artiste rivalise plutôt avec la nature comme l’a dit Malraux. Paul Klee, peintre et philosophe suisse a dit dans ce sens que le but de l’art « n’est pas de rendre le visible, mais de rendre visible ». Peut-être que sans les artistes la beauté dans la nature nous serait inconnue, invisible, insoupçonnée, inaperçue. Baudelaire l’explique bien : vous m’avez donné de la boue j’en ai pétri de l’or ! Hegel et Kant vont jusqu’à dire qu’au lieu que l’art imite la nature, c’est l’inverse : c’est la nature qui imite l’art. Une telle formule semble paradoxale mais cela veut simplement dire que sans la force créatrice de l’imaginaire de l’artiste la beauté dans la nature serait mystérieuse : la beauté du coucher du soleil a commencé à nous toucher lorsque les artistes ont commencé à le chanter. L’amour est devenu « plus amour » par le romantisme. Kant a bien raison de penser que « l’art n’est pas la représentation d’une belle chose, mais la belle représentation d’une chose ». Dans le travail artistique il y a de la recréation, une redite de quelque chose qui manque à sa place dans la nature. Baudelaire a dit avec beaucoup de pertinence qu’« il est beaucoup plus commode de déclarer que tout est absolument laid dans l’habit d’une époque, que de s’appliquer à en extraire la beauté mystérieuse qui y peut être contenue si minime ou si légère qu’elle soit ».  Le fait que les artistes disent eux-mêmes être souvent inspirés par le laid et la misère est d’ailleurs, sous ce rapport, très suggestif : Nietzsche parle justement « d’aiguillon de la douleur » comme source de l’inspiration artistique. Nietzsche a merveilleusement suggéré la capacité rédemptrice de l’artiste lorsqu’il dit qu’il « faut avoir en soi le chaos pour accoucher d’une étoile qui danse » Ainsi parlait Zarathoustra (Prologue, paragraphe 5). Le chaos dont il est question ici est la misère, la douleur, le chagrin, la tragédie, mais aussi l’absence de restrictions et de règles rigides : la démesure, la violence intérieure, le trouble, le stress sont des sources de créativité artistique. « Une étoile » est déjà belle en elle-même ; quand elle danse cela ne pourra être que sublime ! Ce n’est pas la vue qui guide l’artiste mais sa vision : le peintre reconstruit la nature. Picasso a dit dans ce sens « je ne peins pas ce que je vois, je peins ce que je pense ». L’idéal de la beauté est hors de la nature : cet idéal n’est pas la nature telle qu’elle est, mais telle que l’artiste se la représente. L’esthétique de la laideur est la réponse la plus ferme que l’on peut adresser à ceux qui voient dans l’art une simple imitation de la nature. Le peintre ne peint pas ce qu’il voit : il peint un idéal. La beauté universelle n’existe pas, sinon tous les artistes produiraient les mêmes œuvres. La peinture de la Renaissance représente-t-elle la nature ? La peinture de la Renaissance a deux sources principales d’inspiration : la Bible et la mythologie gréco-romaine. Ce n’est donc pas la nature qui est représentée. Le cas de la peinture surréaliste montre que l’art n’est pas une simple reproduction de la nature : les peintres surréalistes n’imitent pas la nature, mais la nature inconsciente ; les rêves, les fantasmes de l’artiste. L’œuvre d’art doit dégager de la révolte : l’art dit, Malraux, est un antidestin. Plus la vie est effrayante, davantage il devient urgent de se tourner vers l’art, a suggéré Paul Klee, au sujet de la fonction rédemptrice de l’art. L’art ne serait plus beau si tout était beau, c’est dans la misère et la douleur que l’art germe de façon plus féconde. L’art abstrait (art non figuratif) prouve que l’art n’est de la pure imitation : avec l’art abstrait, on fait abstraction de la nature visible pour exprimer quelque chose que l’œil ne voit pas immédiatement. Il y a de l’invisible dans la nature (par exemple peindre le vent, la chaleur, etc.). Le théâtre imite l’homme (mimésis) ; le but n’est pas la beauté, mais la purgation des passions (catharsis). Ce que l’homme exprime à travers l’art n’est pas la nature, mais son esprit. Ce dernier n’est pas conceptuel dans l’œuvre d’art : il est sensible. Hegel parle alors de transfiguration de l’esprit dans l’art. La nature n’est qu’un motif sur lequel l’artiste projette ses idéaux, ses théories, ses règles.

III/ Don, talent et génie

Certains ont du talent, d’autres non. L’art est-il affaire de talent ? Parfois, on entend que c’est inné d’autre fois on prétend que le talent artistique est travaillé (par exemple Mozart ; en fait, son père, Léopold Mozart, l’a éduqué d’une manière assez sévère que l’on peut penser qu’il s’agit plus d’une technique musicale acquise que d’un génie inné). Platon lui est catégorique, le don artistique est d’origine céleste. Dans Ion il suggère que l’art du poète est un don des dieux et non pas un don naturel : « l’art véritable est d’inspiration divine ». Les muses inspirent l’artiste, mais ce dernier n’a aucun don. En Afrique traditionnelle aussi l’artiste est souvent considéré comme inspiré par les esprits. Le génie est-il le privilège d’une situation ou d’un état d’exception ? Le célibat, le stress, la vie de bohème, la souffrance, les drogues, la maladie physique ou mentale (Cf. Van Gogh). Pour Kant, le génie (créativité ou inventivité) est ce qui donne ses propres règles à l’art : « par le génie, la nature donne ses règles à l’art ». Le génie est dans la capacité d’invention de nouvelles règles.

IV/ Qu’est-ce que le beau ?

Le beau (bel, belle) vient de « bellus » qui veut dire « charmant », « délicat » : le beau renvoie donc à une satisfaction sensible. Définir le beau n’est cependant pas facile : « harmonie des couleurs et des formes » ? « Ce qui plait à la vue » ? « Idéal de perfection » ? Aucune de ces définitions ne fait l’unanimité. Le beau procure un sentiment de satisfaction sensible qui est subjectif même s’il peut prétendre à une certaine universalité. P. Valéry croit savoir que le beau n’est pas une chose, mais un effet : on comprend dans ce sens pourquoi ce qui est beau ici ne l’est pas forcément ailleurs. Selon Kant le beau est « ce qui plait universellement sans concept ». Cela veut dire que le beau s’adresse à la sensibilité, procure une satisfaction sensible à propos de laquelle on exige l’assentiment des autres, sans que cela puisse faire l’objet d’une démonstration logique (sans concept).

V/Peut-on expliquer une œuvre d’art ?

Expliquer une œuvre d’art est problématique : l’art relève de la sensibilité, et est le produit d’une intimité que nul ne partage. Expliquer c’est tenter de rendre rationnel, de donner un sens, or l’art s’adresse a priori à la sensibilité (sentiments). En tentant d’expliquer l’œuvre d’autrui ne court-on pas le risque de la travestir ou de trahir son inspiration ? L’art exprime le beau et, sous ce rapport, l’œuvre d’art peut parfaitement être muette ou absurde. Elle provient du cœur et peut légitiment s’abstenir de véhiculer un message quelconque. Comment pourrait-on, par exemple expliquer, une œuvre musicale purement instrumentale ? Néanmoins les pistes psychanalytique et marxiste prétendent donner des clefs d’explication. Pour Freud l’œuvre d’art est souvent une expression voilée, détournée, transférée ou sublimée de désirs inconscients. L’artiste a le génie de faire passer ses désirs censurés par des voies et moyens socialement admis. Dans ce sens une œuvre d’art a des significations différentes de celles que l’artiste donne à sa propre œuvre : ses significations apparentes ne sont jamais les profondes et vraies significations.  L’œuvre d’art est également selon Freud un monde de satisfactions imaginaires où chacun vient compenser le déficit que lui oppose la réalité. Sous ce rapport, la différence d’interprétation d’une œuvre d’art est relative à la différence de désirs projetés dans l’œuvre. Freud reconnaît cependant le mystère que représente le don artistique : il n’y a pas d’œuvre sans génie. Pour le marxisme, l’œuvre d’art entre dans le domaine de l’idéologie, une œuvre d’art est déterminée par la position sociale de l’artiste : l’art bourgeois exprime les intérêts et les préoccupations de la bourgeoisie. Sous ce rapport, on pourra dire qu’il n’y a certes pas d’œuvre sans génie, mais il n’y a pas non plus de génie sans œuvre. Or ce qui fait de l’œuvre une œuvre c’est l’adhésion populaire, le succès qui, peut s’expliquer par plusieurs paramètres. L’explication d’une œuvre d’art pourrait aussi s’esquisser par une sorte d’exégèse externe : la connaissance de la vie de l’artiste, de son enfance, de son époque ou de son milieu, peut jeter une lumière sur son œuvre.

VI/ Les fonctions de l’art

L’art est multifonctionnel : il entretient des rapports variés avec la société. Primitivement d’ailleurs l’art était lié à la magie et à la religion (véhicule ou réceptacle de divin). Pour parodier André Malraux on peut dire que l’art c’est ce qui reste quand les dieux se sont échappés des objets. Cette formule suggère que les objets d’art (statue, tableau, temple, etc.) ont d’abord été dédiés aux divinités. La sculpture est intimement liée à la religion polythéiste ; les temples et les pagodes du monde entier ont beaucoup inspiré et développé l’architecture ; les chants composés à la gloire des dieux et les figurations sur tableau des êtres divins ou angéliques ont favorisé la poésie et la peinture. Le processus d’abstraction de la divinité et la naissance des religions monothéistes ont vidé les dieux des statues, des temples, etc. et l’art pouvait désormais être consacré à la vocation esthétique. Aujourd’hui l’art a une fonction technique manifeste : l’art engagé se propose d’être un outil de libération de l’homme et de combat contre l’injustice. Il a des fonctions thérapeutique (exorcise les démons ou équilibre psychique), ludique (l’art renferme une dose de jeu), évasive (il permet de noyer l’ennui ou la misère et de sauver de la mélancolie), pédagogique (l’art peut servir de support pédagogique ou de véhiculer des enseignements comme dans le conte), historique (les œuvres d’art sont des vestiges historique matériels qui donnent de précieuses informations sur le passé, comme c’est le cas des temples grecs et des pyramides égyptiennes), expressive (l’art est un langage), d’impression (l’art est capable d’imprimer des sentiments en nous), idéologique (ou politique, car l’art peut justifier, mythifier ou critiquer les différents pouvoirs), etc.

Share This Article
Leave a Comment

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

4 + treize =